Au premier temps de la valse, Toute seule tu souris déjà, Au premier temps de la valse, Je suis seul mais je t’aperçois. Et Paris qui bat la mesure, Paris qui mesure notre émoi, Et Paris qui bat la mesure, Me murmure, murmure tout bas : Une valse à trois temps Qui s’offre encore le temps Qui s’offre encore le temps De s’offrir des détours Du côté de l’amour ; Comme c’est charmant. Une valse à quatre temps C’est beaucoup moins dansant C’est beaucoup moins dansant Mais tout aussi charmant Qu’une valse à trois temps Une valse à quatre temps Une valse à vingt ans C’est beaucoup plus troublant C’est beaucoup plus troublant Mais beaucoup plus charmant Qu’une valse à trois temps Une valse à vingt ans Une valse à cent temps Une valse à cent temps Une valse ça s’entend A chaque carrefour Dans Paris que l’amour Rafraîchit au printemps Une valse à mille temps Une valse à mille temps Une valse a mis l’temps De patienter vingt ans Pour que tu aies vingt ans Et pour que j’aie vingt ans Une valse à mille temps Une valse à mille temps Une valse à mille temps Offre seule aux amants Trois cent trent’trois fois l’temps de bâtir un roman Au deuxième Temps de la valse On est deux Tu es dans mes bras Au deuxième temps de la valse Nous comptons tous deux : une, deux, trois, Et Paris qui bat la mesure Paris qui mesure notre émoi, Et Paris qui bat la mesure, Nous fredonne, fredonne déjà : refrain Au troisième temps de la valse Nous valsons enfin tous les trois, Au troisième temps de la valse Il y’a toi, y’a l’amour et y’a moi Et Paris qui bat la mesure Paris qui mesure notre émoi, Et Paris qui bat la mesure, Laisse enfin éclater sa joie refrain La,la,la,la La,la,la,la La,la,la,la la, la, la